50 Cent, le leader du célèbre groupe de rap, G-Unit, a exprimé son opinion sur le projet de loi, le Unborn Child Support Act, qui a été présenté par le Parti républicain, le 13 juillet 2022. Ledit texte obligerait les pères de famille à verser une pension alimentaire à leurs femmes, au bénéfice de l’enfant à naître.
Il y a quelques jours, le très célèbre rappeur américain, 50 Cent, poussait un gros coup de gueule, via son compte Instagram. Cette réaction du rappeur du Queens, un quartier populaire de New-York, qui, même si elle a été supprimée par la suite, survient par rapport au projet de loi, le Unborn Child Support Act.
Le projet de loi modifierait la loi sur la sécurité sociale, « pour donner aux mères la possibilité de recevoir des pensions alimentaires pour enfants, pendant leur grossesse », selon un communiqué du sénateur républicain, Kevin Cramer, remonté par les médias locaux. Au rang des partisans dudit projet de loi, on peut citer Marco Rubio, Rick Scott, Marsha Blackburn, Cindy Hyde-Smith, Roger Wicker, James Lankford, Jim Inhofe et Steve Daines.
Après que le texte a été déposé sur la table des députés, le rappeur et producteur new-yorkais est sorti de ses gonds.
Le gros coup de gueule de 50 Cent !
L’homme d’affaires n’y est pas allé du dos de la cuillère, au sujet du Unborn Child Support Act, un texte de loi, qui devrait rendre la facture des parents masculins, un peu plus salée, au profit de leurs femmes enceintes.
Selon HipHopDX, à travers un post, supprimé, plus tard, 50 Cent avait écrit ceci : « Ok [n!que] ça, j’ai démissionné. », une réaction, qui traduit l’état d’esprit du rappeur, face à ce projet de loi.
Il convient de rappeler que, dans le même contexte, en 2016, l’auteur du titre à succès « In Da Club » a déposé son bilan, après avoir affirmé qu’il était en règle avec ses paiements de pension alimentaire pour enfants, malgré le fait que la mère de son fils, Shaniqua Tompkins, ait demandé les 6 700 $, comme le rapporte The Source.
Aussi, Fifty semblait-il avoir fini de s’occuper, financièrement, de son fils, Marquise Jackson, à l’époque, âgé de 20 ans, et avait, clairement, indiqué qu’il était prêt à en finir avec le paiement de pension alimentaire.