À Yopougon, l’une des 15 communes d’Abidjan, la capitale de Côte d’Ivoire, une restauratrice accuse Emma Lohoues d’avoir détruit ses activités, via la sorcellerie. Or, selon l’influenceuse, elle-même, en 2021, ses ennemis avaient, en vain, cherché à causer sa perte. Après moult investigations, il s’est avéré que l’accusatrice est, elle-même, à l’origine de la destruction de son restaurant.
Récemment, une restauratrice de la commune de Yopougon, à Abidjan, a accusé Emma Lohoues d’avoir, à travers des pratiques mystiques, porté atteinte à ses activités, causant la destruction de son établissement, apprend-on du site Abidjan Show.
Se confiant au média, la jeune femme a déclaré que l’ex-copine de DJ Arafat, lors de son dernier passage dans son restaurant, y a laissé de mauvaises vibrations, qui auront été la source d’énormes difficultés, conduisant à la destruction de son restaurant. « Elle est très mystique. », aurait confié la restauratrice.
Alors que l’affaire fait le chou gras des médias, nourrissant, au passage, d’intenses débats sur les plateformes de discussions, la presse revient sur des faits non-négligeables.
« Vous avez essayé avec canari devant le spa »
Il y a un an, la mère de Kobe dévoilait, via des posts sur les réseaux sociaux, être la cible de pratiques occultes. Ses actions, à en croire Emma Lolo, étaient l’oeuvre de ses ennemis.
En effet, en février 2021, au détour d’une publication sur les réseaux sociaux, Emma Lohoues avait accusé ses ennemis de chercher, par tous les moyens, la façon de causer sa perte. « Vous avez essayé avec canari devant le spa ; après serpent, maintenant c’est chauve-souris … L’argent que vous prenez pour aller gbasser (marabouter) vos ami(e)s pour qu’ils aient des difficultés dans leurs vies ou pour attaquer leurs business, donnez-le aux marabouts pour travailler sur vous, afin que vous soyez quelqu’un aussi. », avait-elle écrit.
Des accusations infondées ?
Au milieu de cette nébuleuse affaire, la presse a fouiné et a, peut-être, découvert l’origine des problèmes de la plaignante, la propriétaire du restaurant détruit.
Selon des sources, proches du dossier, le restaurant en question était situé en bordure de route, sur des caniveaux, et, de ce fait, obstruait l’évacuation des eaux usées. En conclusion, cette situation incivique aurait poussé les autorités municipales à autoriser la destruction de l’établissement.