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Mali: l’idée d’un « gouvernement » et d’un « parlement » parallèles irrite les autorités

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Au Mali, des opposants à la transition ont annoncé la formation prochaine d’un  » gouvernement » et d’un « parlement » parallèles. Une idée parvenue aux oreilles des autorités qui a fait réagir le Procureur de la République.

C’est à travers un communiqué en date du 16 mai 2024 que le Procureur du Pôle national de Lutte contre la Cybercriminalité, le Dr Adama Coulibaly, a mis en garde le « Panel des Démocrates Maliens « , « convergence pour une transition civile« , groupes d’opposants dont certains sont en exils, contre l’idée d’une mobilisation pour la mise en place d’un « gouvernement » et d’un « parlement » parallèles. En effet, « le Procureur du pôle national de Lutte contre la Cybercriminalité rappelle que les responsables de ces agissements s’exposent à des poursuites et à des sanctions pénales prévues par la législation en vigueur » peut-on lire dans le communiqué.

« Le Procureur du Pôle national de Lutte contre la Cybercriminalité rassure la population que tout est mis en Å“uvre pour rechercher et traduire les auteurs, coauteurs et complices de ces agissements devant la justice » ajoute le communiqué.

Alors que la fin de la transition a expirée le 26 mars 2024, plusieurs partis politiques malien avaient dénoncé le silence des autorités de la Transition quant au chronogramme électoral. Mais, le dialogue national a recommandé de « proroger la transition » militaire de plusieurs années. Les participants à ces consultations nationales qui sont des soutiens des autorités actuelles ont recommandé que le colonel Assimi Goïta, se présente à la présidentielle qui devrait mettre fin à la période de transition.

De plus, les colonels au pouvoir ont suspendu les activités des partis politiques en avril en leur reprochant leurs critiques contre le non-respect de leurs engagements et contre le « dialogue ». Et ces participants au « dialogue national » ont aussi préconisé de durcir les conditions de création des partis, de réduire leur nombre et de leur couper tout financement public.

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